Alexandra et son vélo
Alexandra est une quadra dynamique et toujours positive. Elle est responsable communication et maman de 3 grandes filles, dont on pourrait plutôt penser qu’elle en est la grande sœur !
Elle a de nombreux hobbies, elle est investie dans la vie associative et pédale d’expo en concert… Bref un emploi du temps bien chargé !
Quand elle repense à ses débuts à vélo, ce sont plutôt des mauvais souvenirs qui lui reviennent : des chutes quand elle était adolescente, des côtes infernales à monter en vacances en Normandie, et 2 vélos volés quand elle était étudiante !
Il y a six ans, Alexandra a néanmoins pris une décision radicale : revendre la 2eme voiture de la famille pour passer au vélo électrique de location (qu’elle a finit par racheter à la ville).
Et toute la famille a suivi et circule désormais à vélo : c’est devenu un engagement écologique familial et partagé.
Pourquoi elle « love » le vélo
Ce qu’Alexandra apprécie par-dessus tout, c’est la liberté qu’offre le vélo en ville : « c’est où tu veux, quand tu veux » ! Cela lui permet de se déplacer rapidement et facilement entre ses différentes activités professionnelles, associatives, et sociales.
Elle aime aussi cette pratique familiale instaurée depuis quelques années : la famille a même testé plusieurs formules de week-ends et vacances à vélo dans les Landes ou en Bretagne…
Comme toute vélotafeuse qui se respecte, Alexandra est plutôt bien équipée : elle a des grandes sacoches pour pouvoir transporter son ordinateur, ses dossiers mais également quelques courses faites en chemin.
Contre la pluie, c’est imperméable, chapeau de pluie et manchons (parfois elle pique le casque de son mari), mais positive de nature, elle considère que les trajets ne sont finalement pas si longs sous la pluie.
Pourquoi parfois elle love moins…
Selon Alexandra, l’ennemi n° 1 est plus le vent, qui déporte le vélo, que la pluie.
Elle a également subi des vols de vélos et de sacoches, elle n’est donc jamais rassurée de laisser trop longtemps son vélo, notamment lorsqu’il fait nuit.
Enfin, elle évoque le fameux sujet de la jupe. Elle met parfois des jupes courtes, et gère tant bien que mal la jupe qui se relève et les regards un peu appuyés, mais il reste le problème de la jupe longue qui se prend dans les rayons.
Néanmoins, la fierté d’avoir accompli ce virement vers la mobilité douce l’emporte. Le vélo est devenu un allié du quotidien incontournable dans la vie d’Alexandra.
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